Oui, encore un petit effort, MM. les administrateurs de la FFE, pour honorer pleinement notre devise universelle : "Gens una sumus !".
Un petit pas en avant (un grand pas pour d'aucuns), vient d'être réalisé par les membres du comité directeur de la FFE, réunis en juin (cf compte-rendu sur le site fédéral, article "technique") :
désormais, dans tous les règlements des compétitions fédérales :
le terme "joueur(se) français(e)" est remplacé par "ressortissant(e) de l'UE (Union Européenne) résidant en France"
depuis le temps que je milite pour qu'on accepte tous les joueurs, quelles que soient leurs nationalités !
là, la FFE s'est contenté de mettre ses textes en conformité avec le droit européen (rappelez-vous, l'arrêt Bosman de la Cour de Justice de la Communauté Européenne rendu il y a... 15 ans déjà en faveur du célèbre footballeur Belge, suivi par l'arrêt Malaja (2002, Pologne), l'arrêt Kolpak (2003, Slovaquie), l'arrêt Simutenkov (2003, Russie)...).
il est temps de s'ouvrir au monde...
merci tout de même pour cette avancée !
en photo : la FFE, de Jacques Lambert à Jicé...
4 commentaires :
xxx c'est Bosman. Voir l'arrêt Bosman (qui n'était pas gardien de but)
C'est du droit communautaire et pas européen !
NE SURTOUT PAS CONFONDRE l'ouverture aux autres et l'arret Bosman !! L'ouverture aux autres n'est pas le fait de la loi, c'est un etat d'esprit qui se pratique entre personnes et le Canal Saint Martin est la meilleure illustration de la vivacite de cette pratique en France (Inna, Xenia...). L'arret Bosman est au contraire un principe economique de libre circulation qui utilise cet "argument des gentils" pour permettre aux clubs riches de presenter des equipes de mercenaires et de trouver des joueurs moins chers ailleurs comme dans le foot maintenant. Il n'y pas lieu de se feliciter que cette loi europeenne soit passee : ca ne changera absolument rien a l'etat d'esprit des gens mais ca permettra a Meaux-Beauval (ville de JF Cope) d'aligner bien plus que les 2 GMI et le MI en N3 auxquels on avait eu droit la derniere fois.
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