16/11/2019

350e : le grand maître Luis ErnestO de Cuba gagne à 19 ans !



Dans la famille QUESADA PEREZ de Cuba, c'est le plus jeune Luis ErnestO, déjà grand maître, qui remporte le 350e Rapide East Bunker, à tout juste 19 ans passés.


Un 350e tournoi placé donc sous le signe indien du grand cosmopolitisme avec, si j'arrive encore à compter, pas moins de 3 Cubains, 2 Allemands, 2 Moldaves, 1 Américano-Bulgare, 1 Hongrois et 1 Colombienne (dont la maman, grande joueuse titrée, a participé au Mémorial Capablanca à Cuba).


Comme cela c'était passé il y a plus de cent ans Capablanca, on n'a pas eu besoin d'expliquer les règles du jeu d'échecs au jeune Luis ErnestO : c'est en regardant jouer ses proches à Cuba qu'il a trouvé et proposé pas mal de beaux coups candidats à l'âge où d'autres ne savent pas encore lire.

Luis ErnestO et Liordis (qui ne sont pas de la même famille, même s'ils portent le même patronyme) vivent désormais en France, et vous aurez l'occasion de les croiser sous d'autres feux, en France ou plus bas, en Espagne.


Vous pouvez joindre Dominique Mordrel pour les contacter.

Captain Franz n'était pas le seul à Paris, Franz Aschl était également de passage dans la capitale française, et il a bien su déguster l'air de l'East Bunker.
Il est né, pile poil, 34 ans après moi.
Cela ne me rajeunit pas.


Jean-Paul était en forme. Enfin un !
Il marque bien des points sous les oreilles qui n'en croient pas leurs yeux de la grand maître féminin Xenia, désormais engagée sous le drapeau des forces du barreau.
C'était un grand bonheur de retrouver la jeune maman, qui ne fait pas encore toutes ses nuits.


Le premier à avoir tâté du maître international, c'est son frérot le désormais maître Fide Andreï du Carré Magique, qui doit se résoudre à s'incliner le premier face au ténor au chapeau de Cuba, Liordis.
Je dois m'incliner aussi face au maître Fide cubain Alexis, qui vit en France.
Vint le tour de Captain Franz d'abdiquer devant le jeu parfait du grand maître Luis ErnestO.


Charlie, le demi dieu grec et romain n'a pas pu combattre les trois. Il n'en a joué qu'un seul (défaite) puis le maître Hongrois MiklOs qu'il connaît bien (défaite aussi).

Celui qi fait des étincelles, c'est le jeune Benoît, 1199 Elo, qui finit sur la 3e marche du podium, devant les titrés, avec pas moins de 4 points, diantre !


Eurêka, le furet magique a percé le bouchon, après pas moins de deux heures et demi de va et vient.
L'eau coule désormais sous les ponts.
Merci au néO-lusitanien Richard le Terrible pour le mot clé, et à Ute pour la libération des photos.

Et dire que le Che veut que j'embraie dare-dare pour un combat à la DubOv en mémoire de Frank Marshall, mais c'est que je suis KO.


Dommage qu'il ne soit pas passé hier, il aurait croisé Nadya de Colombie, mais maintenant place aux matches de N3 et N2.

Ici la GAD, à vous la lune.


Comme le cinéaste Colombien nous l'a prouvé, et comme Alexis va l'apprendre, "perdre est une question de méthode".

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