Après avoir remporté le tournoi de blitz du 2e festival de Mat de la Charité-sur-Loire en ne laissant qu'un demi-point à ses adversaires, MaestrO Grimb' récidive le lendemain lors du Rapide en ne laissant toujours qu'un seul demi-points à ses partenaires de jeu.
Stéphane était étonné qu'on connaisse encore Ernest Perrochon, le prix Goncourt 1920.
Du coup, je lui ai laissé huit heures pour qu'il me délivre un conseil de lecture.
A l'heure de la remise des prix, il me glisse une série (de mon enfance) de 7 livres qui me laisse sans voix : les Rois Maudits, écrite par des nègres et pas seulement par Maurice Druon.
J'ai plus en tête la série télévisée de Claude Barma réalisée dans les années 70, et la scène du glaive empaleur.
Page 289 d'un tout autre livre ("Nos ancêtres les Gaulois") de François Reynaert, on retrouve l'iconographie que n'a pas réalisée la Dame patronnesse de La Croix : le Charolais (il y avait nombre de joueurs du Charolais - Brionnais dont Eric M grand buveur de jus d'argousier) tombe dans l'escarcelle française comme la Lorraine : au temps de Louis XV.
On est loin du XIVe siècle.
Ici la GAD, à vous la lune.
Les côteaux du Charolais existaient avant ceux de Sancerre et de Pouilly. Diantre !
Merci à Didier C, et sa fille Marie 21 ans, qui 'mont offert la fabuleuse bouteille de Val de Loire Chardonnay de Michel Langlois à Pougny (58).
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